mercredi 27 août 2014

Pop Rebecca…





















De tous les interviews que j'ai pu réaliser, des rencontres qui se sont faites, des liens qui se sont tissés au fil des ondes, il y avait une seule chose qui s'était mal passée et j'en étais un peu triste. Mon interview de Rébecca Manzoni avait presque été un désastre. Un désastre de son (j'entendais à peine sa voix), un désastre de "distance". Je la trouvais lointaine et pas dans l'"affaire". Distante. Sur un détail nous ne nous sommes pas compris. J'ai publié. Insatisfait et déçu. J'aurais du viser l'interview en vis à vis. Faute "professionnelle" sans doute.

Ce matin à la conf' je reconnais Rébecca je la salue. On cause un peu je lui dis mon "ratage". On parle de Chantal Pelletier, de Kriss qui sème toujours ses bonnes ondes, de "Pop&Co"

La première de "Pop & Co"


Je ne lui dis pas que je n'écoute pas les infos radio, mais je lui parle de cette mécanique de 4'30. Elle me dit que le collage de ses infos "culturelles", pop plutôt, c'est énormément de travail, plus que pour Éclectik (10 ans au compteur). Si Rebecca "me" fait un feuilleton je vais prendre le pli, en live, en streaming ou en podcast. Je ne me forcerais pas. Comme quoi les rencontres c'est pas pareil que le téléphone.

Je lui ai parlé de Baru et je lui ai proposé qu'on en reparle. Là je vous ai livré un petit secret de fabrique. Fallait pas que ça dure cette mouscaille. Merci Rebecca d'avoir pris ce petit moment… Je vais mieux. C'est comme ça. J'avais envie, mes chers auditeurs, de vous le raconter. C'est ça aussi mon histoire de la radio.

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