mercredi 27 juillet 2011

On air… de rien





Pour parler au micro la règle initiale et formelle n'était-elle pas d'avoir "une voix qui passe" ? Les exemples sont nombreux de voix qui ont fait la radio et vous les découvrirez au fur et à mesure sur ce blog. Mais il y a aussi les voix qui ne passent pas ! Mais vraiment pas. Pourquoi un journaliste de presse écrite a pu, au-delà de ses qualités intrinsèques, profiter (très longtemps) d'un micro (sur France Culture) pour, fût un temps, faire une revue de presse spécialisée puis plus récemment une chronique régulière dans la matinale, puis encore plus récemment une chronique spécialisée. 
On s'arrache les oreilles, on s'interroge grave sur l'exigence radio a-minima pour ce qui devrait être la règle de base de la qualité. Bafouillez, bafouillez il n'en restera sûrement pas grand chose. Je peste, je peste et je me heurte à un mur. Au risque de me répéter la radio est prise par certain tel un média comme un autre où il suffirait juste d'être connu pour être entendu. Galéjades et esbroufe. Ça ne passe pas ! Et c'est une raison suffisante pour déserter la/les matinales qui font des courbettes aux éditorialistes de la presse écrite incapables d'articuler et de considérer que juste derrière le micro il y a… des auditeurs.

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