vendredi 6 mai 2016

L'an 02 : Vendredi 67 mars 2016, ça crève les yeux…

"Féministes debout"
@Gilles Davidas, 66 mars 2016

Nantes










Hors les places. Aux périphéries des rues, des places de la République, des places de la Liberté… Aux centres des villes où #NuitDebout s'essaye et se vit de la parole retrouvée, s'insinue la violence répressive pour essayer d'en découdre, de découdre un mouvement qui se tisse dans toutes les franges de la population et qui implique les femmes et les hommes : artistes, intellectuels, travailleurs, sans-voix et sans-papiers. 

Radio Debout Nantes en témoigne dans le son ci-dessous, comme aux moments les plus forts des affrontements de Mai 68 où les reporters de Radio-Luxembourg (RTL) et d'Europe n°1 se prenaient les pavés sur la tronche et les lacrymo dans les yeux et, où les auditeurs suivaient atterrés, sur ces deux radios généralistes, que le Préfet Grimaud avait dénoncées au prétexte d'être devenues "Radio Barricades".

Dans son reportage Anaïs Denaux, nous donne aussi à entendre le chant des femmes, debout et, toujours en lutte… (Le Bruitagène) 

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